Semaine escalade

en seconde

Septembre 2005

 

 

Le maître ...
... et l'élève ....

 

 

 

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Pourquoi une semaine escalade en seconde ?

  • Pour répondre à la demande des textes officiels qui imposent de faire une Activité Physique de Pleine Nature ( APPN ).
  • Pour découvrir un site remarquable proche d’Evry.
  • Pour donner aux élèves les moyens d’une pratique responsable et autonome.
  • Pour permettre aux nouveaux élèves d’apprendre à se connaître à la rentrée et aux les enseignants d’initier un dialogue.
  • Pour vivre une pratique culturelle régionale.

 

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Organisation

L’ensemble des classes de seconde est divisé en 2 groupes.

Les élèves travaillent par binôme. Chaque binôme est responsable de sa paire de chaussons.

Trois demi-journées d’entraînement.

Une demi-journée d’évaluation.

En cas de pluie, une randonnée est proposée.

Accès au massif en voiture :

A Evry, suivre l’A6 direction Lyon et sortir à Auvernaux. Au croisement de la D 948 et de la D74 continuer sur la D 948 sur 800m puis prendre à droite le chemin vicinal sur 700m jusqu’à l’entrée dans Beauvais. Enfin, prendre la route de Champcueil sur 400m. Parking au sommet de la petite côte.

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Objectifs et évaluation

1 : Savoir s’équiper et utiliser son matériel ( chaussons, tapis, chiffon ).

2 : Savoir se repérer dans le massif.

3 : Savoir grimper et parer en toute sécurité.

4 : Faire un maximum de voies pour s’éprouver, se dépasser, situer son niveau.

 

Evaluation
PERFORMANCE
MAITRISE
CONNAISSANCES
7 points
6 points
7 points
MALUS de 3 points pour ceux qui ne respectent pas la pratique de pleine nature ou la vie en collectivité.


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Galeries photos

 

Apprendre à se connaître et à connaître les autres
Haute voltige
La récuperation
La sécurité
L'entraide
L'environnement
Les techniques d'appuis et prises
L'évaluation
Se repérer

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En savoir plus sur la varappe à « Bleau »

En 1967 le COSIROC a crée une commission des Circuits d’Escalade qui depuis lors coordonne en liaison avec l’ONF les balisages de circuits dans les zones de blocs de l’Ile-de-France en essayant de ménager les divers intérêts en présence (escalade, protection des sites contre l’érosion et l’excès de peinture, gestion forestière ).


Les zones d’escalade
Elles sont identifiées sur la carte I.G.N/O.N.F n°401 par un double triangle rouge. Elles sont composées en général de plusieurs circuits aux difficultés variées afin de satisfaire les grimpeurs de tous niveaux.


La couleur des circuits et leurs difficultés

Les circuits ont toujours été classés par difficulté mais, contrairement à la standardisation actuelle, les couleurs qu’on leur affectait pouvaient varier d’un massif à l’autre. De ce système il reste encore quelques exemples. Certains circuits ont conservé leur couleur d’origine, notamment pour des raisons historiques comme le rouge AD – et le jaune D – du Cuvier Rempart et le Mauve AD de la Dame Jouanne.


Les signes conventionnels

Sur les terrains, les circuits sont matérialisés par des symboles aussi discrets que possible.
Le circuit est identifié au départ par une plaque blanche sur laquelle deux indications ont été portées.


Les cotations

L’échelle numérique de Welzenbach de 1 à 4, ouverte vers le haut 7 à 8… en 1978 (du Cuvier), est utilisée, à Fontainebleau comme ailleurs, pour évaluer la difficulté de la voie ou du passage.
Des graduations intermédiaires ont été imaginées pour nuancer les cotations. Chaque graduation de 1 à 7 peut être suivie du signe + ou -. Les cotations s’appliquent à un rocher sec, propre et convenablement essuyé. Par temps de pluie ou humide, les cotations proposées perdent leur signification.
Remarque : les cotations des rochers de Fontainebleau, sans être unique au massif, sont par définition celles des blocs. Toute tentative d’assimiler ces cotations à l’escalade en falaise ou en montagne est vouée à l’erreur.


Quelques massifs connus

  • La Dame Jouanne : le plus haut rocher de Fontainebleau.
  • Le Cuvier : massif le plus parcouru de la forêt de Fontainebleau, très facile d’accès.
  • Les trois pignons : terrain militaire (accès autorisé au public ), l’ensemble, à part le groupe du Télégraphe, sèche très vite après la pluie.
  • Le cul du chien : la faible hauteur des rochers, des chutes sont en général sans danger et de nombreuses voies de tous niveaux expliquent son succès.
  • Beauvais / Rocher du duc : Beaucoup de possibilités d’escalade en général peu exposées.
  • La roche aux sabots : circuit technique et peu exposé.
  • Chamarande : facile d’accès, composé de nombreux rochers hauts et peu lichéneux. L’escalade souvent en grattons permet de grimper même par temps humide.

 

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